Penser les relations entre santé et travail de manière systémique : la notion d’usure professionnelle à l’épreuve de ses applications
Depuis le 28 avril 2021, les experts du Groupe ALPHA publient une Chronique mensuelle sur le site d’informations RH, actuEL-RH.
Ce mois-ci, retrouvez la chronique intitulée “Penser les relations entre santé et travail de manière systémique : la notion d’usure professionnelle à l’épreuve de ses applications” signée par Amandine Michelon, Chargée d’études au Centre Etudes & Prospective du Groupe Alpha.
Nos plus vifs remerciements à la rédaction d’actuEL-RH pour son accès libre.
Penser les relations entre santé et travail de manière systémique : la notion d’usure professionnelle à l’épreuve de ses applications
La prise en charge de l’usure professionnelle passe avant tout par l’établissement d’un diagnostic. Ce diagnostic, qui établit des constats partagés sur les conditions de travail dans l’entreprise, l’organisation du travail et la qualité de vie au travail, permet de constituer une base pour un dialogue social nécessaire sur ces questions. Si les politiques publiques pensent l’usure professionnelle à travers la pénibilité du travail seulement – à l’image du Fipu (7), destiné en premier lieu aux métiers particulièrement exposés aux facteurs de risques ergonomiques (postures pénibles, vibrations mécaniques, manutentions manuelles de charge) -, c’est parce que la pénibilité est relativement simple à constater : elle s’observe et s’objective. Cependant, l’usure professionnelle recoupe bien d’autres dimensions que la pénibilité du travail, dont la mesure est sans doute plus complexe.
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