Développement durable RSE
L’élection de Joe Biden, une chance économique pour l’Europe
Après quatre ans de présidence par Donald Trump, Joe Biden, le nouveau président des Etats-Unis, a pris ses fonctions le 20 janvier 2021. Marqués par une économie à la peine et une pandémie non jugulée, les Etats-Unis ont engagé de fortes dépenses d’urgence de lutte contre le Covid-19 et ses effets économiques et sociaux. Le programme de Joe Biden se centre sur les classes moyennes et prévoit des plans très ambitieux de relance de l’industrie et de verdissement de l’économie. Dans une certaine mesure, l’agenda de Biden représente une chance pour l’Europe qui pourrait bénéficier, par rapport à une situation de statu quo, d’une politique plus ouverte et plus multilatérale.
Un nouvel ordre financier
En rappelant les réductions d’effectifs envisagées par les banques européennes, l’actualité égrène les mesures qu’elles envisagent pour s’adapter au contexte immédiat des marchés financiers. A notre sens, ces palliatifs manquent pourtant l’essentiel : un nouvel ordre financier se dessine et les réponses pour s’y insérer restent grandement à inventer.
Prix carbone : les entreprises pourraient-elles devancer les gouvernements ?
Le 22 avril, l’Accord de Paris sur le climat a été signé par 175 Etats. Pour entrer en vigueur, il doit dorénavant être ratifié par 55 Etats représentant au moins 55% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Pour traduire les engagements en réalité, le signal prix carbone est considéré comme un des moyens centraux pour contenir le réchauffement climatique sous les 2°C. Mais sa mise en œuvre demeure complexe et soulève un certain nombre de questions.
EDF : avis de tempête, ou préfiguration d’une nouvelle donne ?
Baisse de ses résultats, passage des prix de gros en dessous des coûts de production : EDF vient d’alerter l’Etat sur ses difficultés à financer son plan d’investissements, lui-même d’une ampleur historique.
Accord de Paris sur le climat : que pèsent les symboles face à l’urgence climatique ?
En adoptant l’Accord de Paris sur le climat le 12 décembre, les Parties rassemblées sous l’égide des Nations Unies tournent la page du traumatisme de Copenhague et célèbrent le retour du multilatéralisme. Mais peut-on conclure pour autant que les Nations Unies sont parvenues à défendre l’intérêt général comme elles avaient été capables de le faire lors de l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’Homme en 1948 à Paris ?
Cop21 : le diable ne se cache toujours pas dans les détails
Après 20 ans de négociation, 5 rapports du GIEC pour nous alerter sur l’urgence de la situation climatique, des chiffres dans tous les sens, les Parties à la CoP21 ne s’accordent toujours pas sur une vision commune de long terme.
Catastrophe climatique : pour rester en vie, mieux vaut regarder la Terre depuis le ciel ?
Aujourd’hui, que ce soit vu du ciel avec des outils extrêmement sophistiqués ou depuis le tapis de la forêt amazonienne, les constats sont les mêmes en matière de réchauffement climatique. Si les constats sont les mêmes, les risques pour les individus qui les observent ne le sont pas.
Pour IndustriAll, « le développement soutenable est un concept radical »
Dans la délégation syndicale qui est accréditée pour suivre les négociations internationales sur le changement climatique, les discussions et actions se concentrent très souvent sur l’intégration des concepts de « transition juste » et de « travail décent » dans les textes discutés par les gouvernements. Un atelier organisé par IndustriAll a permis de déplacer le débat sur le lien entre politique publiques, politique industrielle et modèle de société.
Football, FIFA et RSE : le coup du sombrero ?
Au football, le coup du sombrero consiste à faire passer le ballon par-dessus la tête d’un adversaire. Tandis que se multiplient les scandales de différentes natures autour de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA), sa communication institutionnelle sur la RSE pourrait-elle être comparée à cette figure de style ?
Ce que la RSE dit de la politique
Si la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) peut être parfois considérée comme un recyclage de vieilles lunes, aujourd’hui elle permet de soulever quelques-unes des grandes questions politiques du moment.